Il était seul, noyé dans cet océan de noiceur, le petit finger albinos.
Un petit moment de la vie ou on voit l'unique dans la multitude, l'un dans la série. On peut le voir comme le raté, le vilain petit canard, le manque... Mais moi je le vois comme... un biscuit que j'ai mangé. Gâââto !
mardi 17 février 2009
Le biscuit albinos
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